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ESCLAVAGE, COLONIALISME,

 

Je me répète, dans l'Histoire avec un H majuscule que faut-il croire ?Eh bien pas grand-chose ! Il faut, en plus, se remettre dans le contexte de l'époque où les événements se sont produits

En 2020, mise à part la pandémie qui attirait toute l'attention des médias, il s'est produit des événements qui auraient dévisser autant boulons dans des têtes.

Voilà que, des individus aux têtes vides de cerveaux, se mirent à déboulonner des statues de personnes illustres les accusant d'avoir favorisé l'esclavage ou le colonialisme. Et cela sans avoir approfondi leurs biographies et sans aucune connaissances en Histoire.

Justement si on se plonge un petit peu dans les livres, on peut y trouver des phrases ou des événements surprenants chez d'autres personnalités. Celles-ci prononcèrent ou écrivirent des phrases qui soulèveraient l'indignation de nos jours, mais qui parurent "normales" à l'époque.

Jules Ferry :

Prenons le cas de Jules Ferry. Plus de 600 collèges, lycées ou autres établissements scolaires portent son nom. D'après l'Histoire il serait l'homme qui institua l'École Publique Républicaine et Laïque. Premièrement les intentions qui le poussèrent à créer ces écoles ne sont pas écrites dans les livres utilisées dans les manuels scolaires. Et même si le résultat enseigné peut paraître formidable, il cache aussi des actions peu reluisantes et d'autres carrément répréhensibles et cela même dans le contexte de son époque mais que nous ne traiterons pas ici.

En ce qui concerne le colonialisme, -à son époque- il y fut totalement favorable. Le 28 juillet 1885, à la chambre des députés, il fit le discours suivant :

La France doit répandre son influence dans le monde et porter partout où elle le peut sa langue, ses mœurs, son drapeau, ses armes, son génie. Il faut dire ouvertement qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures.

(Il faut dire que l'on trouve ce genre de raisonnement dans beaucoup d'hommes de gauche à travers le temps, en l'appliquant à leurs propres citoyens)

Pour Jules Ferry ces "races inférieures" ne le seraient plus une fois éduquées par eux "les races supérieures" à leur image. Donc le colonialisme était tout à fait logique et était même un devoir.

(Je pense aux espagnols qui sont traînés dans la boue par les bien-pensants d'aujourd'hui pour avoir conquis l'Amérique et apporté leur culture)

 Voltaire.

Voilà Voltaire, la lumière des Lumières. De même que pour Jules Ferry, on trouve le nom de Voltaire sur les façades de nombreux établissements scolaires. Il est le symbole des Lumières. Mais comme pour Ferry, les lumières occultent totalement le côté noir de leurs actions.

 Ce "philosophe" en 1755 dans Essai sur les mœurs et l’esprit des nations, écrit : "On peut dire que si l’intelligence des Noirs n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est fort inférieure. Ils se croient nés en Guinée pour être vendus aux Blancs et pour les servir."

Puis "Nous n’achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres(sic) ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l’acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité : celui qui se donne un maître était né pour en avoir."

Il est reconnu que Voltaire retira lui-même des bénéfices pécuniaires substantiels de ce trafic.

 Les statues de Voltaire ont-elles été déboulonnées ?

Les paradoxes de notre temps :

Il y a dans la période où nous vivons d'étranges paradoxes qui nous laissent pantois. Ou plutôt qui me laisse pantois ! Il ne faudrait pourtant pas que je doute de la sincérité du monde…… À moins qu'il ne s'agisse de vastes manipulations comme on en a l'habitude.

Le premier exemple qui me vient à l'esprit est l'étrange consensus qu'il y eu dans les médias dans les années quatre-vingt avec l'apparition du sida. Il n'y eu aucun cri d'indignation ni aucune accusation contre la propagation ni contre les propagateurs de cette plaie qui fit et fait toujours des millions de morts chaque année.

Dans les années 1990 trois millions de personnes étaient infectées chaque année, mais aujourd'hui encore le nombre de morts tournent autour du million, dont 120 000 enfants innocents. Chaque jour on compte 5.000 nouveaux cas d'infection et 3.000 personnes meurent du sida. On évalue à 36 millions les morts victimes du sida depuis les années 1980.

Financièrement, seulement en 2016 le sida a coûté à la société la somme de 19 milliards d'euros.

De tous ces chiffres effrayants, mis à part, quelques professionnels et journaux spécialisés, personne n'en parle. Je me souviens que l'extrême droite proposa de grouper les séropositifs dans des endroits spécifiques pour qu'ils ne puissent pas contagier les autres. Cette méthode avait été utilisée avec la tuberculose avec les sanatoriums, mais la presse cria au scandale faisant l'amalgame du front national avec le nazisme.  Encore un étrange consensus.

Car enfin, dans cette pandémie, qui se propageait à la vitesse de la lumière, qui étaient les responsables ?

N'y a-t-il pas des victimes et des assassins ?

Il y a les victimes :

Les enfants d'abord, victimes innocentes des turpitudes des adultes et dont le nombre doit s'approcher des 7 millions.

Les contaminés par des injections, ou transfusions de sang contaminé.

Ceux ou plutôt celles ayant eu des relations sexuelles avec des partenaires infectés ou porteurs du virus

sans le savoir. Et les infectés malgré eux.

Mais les autres ? Les propagateurs ! les homosexuels "qui s'assument" et qui se sodomisent sans protection.  les drogués qui se piquent sans précautions et ceux qui laissent des seringues dans des endroits publics. Ceux qui ont des relations sexuelles en sachant qu'ils sont séropositifs et encore bien d'autres cas. Ceux-là ne sont-ils pas des assassins ? Combien de millions de morts à cause d'eux. Ne méritent-ils pas que l'on applique la loi avec eux avec la même rigueur que les criminels de guerre ?

Il y a bien des victimes et des assassins. Pourquoi le même traitement et la même considération ?

Les médias, le conformisme et le politiquement correct les a pardonnés ?  Non ! Il n'y a même pas eu de pardon puisqu'il n'y pas eu de délit !

C'est un des paradoxes de notre temps.

Bizarre ! Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre !

La bible n'est pas tendre dans ce genre de choses. Lévitique 20.13 :

Si un homme couche avec un autre homme comme si c'était une femme, les deux ont commis une abomination, il faut qu'ils meurent. Que leur sang tombe sur eux. __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

 

Rocard et les mirages des « cathos de gauche»

I1 était protestant. Mais Michel Rocard joua un rôle considérable dans l'engagement au PS de toute une génération de militants catholiques. On les appelait les « cathos de gauche». Leur histoire est à la jonction d'une double mutation. Celle de l'engagement politique des chrétiens, dans la foulée d'une interprétation hâtive du concile Vatican II, et celle du parti socia­liste. La «deuxième gauche», dont Michel Rocard fut à la fois le théoricien et l'incarnation, est née sur ce terreau.

L'ancien Premier ministre, qui a souhaité une célébration au temple pour ses obsèques, n'a jamais affiché une vie spirituelle particulière. Mais c'est en lui que se reconnurent bon nombre des catholiques qui firent le choix de la gauche. Ce lien s'explique par la conjonction du combat pour la décolonisation, notamment en Algérie, des chimères de Mai 68 - même le grand Maurice Clavel avait cru y déceler «l'œuvre de l'Esprit » -, et d'une conception morale et quasi messianique de la politique.

Une double naïveté

Le PSU, ce petit parti que Rocard présidait dans les années 1960, fut le bouillon de culture de ces « cathos de gauche» qui, dans une lecture rapide de Gau­dium et Spes, crurent que faire advenir le royaume de Dieu consis­tait d'abord-et exclusivement? - à transformer la cité terrestre. Avec le recul, on peut regretter une double naïveté théologique et politique. Mais on ne saurait contester la sincérité de ces mili­tants fruits du baby-boom de l'après-guerre et formés dans les bataillons de l'Action catholique.

Le risque d'une dilution

Le rocardisme, ce fut d'abord cette nébuleuse qui irrigua la vie associative, locale, syndicale (via la CFDT) et politique. Et le rôle personnel de Michel Rocard fut d'entraîner avec lui au Parti socialiste cette génération.

Minoritaire au sein du PS - Rocard ne parvint jamais à y battre Mitterrand -, ce courant lui a donné cette taille critique qui lui permit la victoire de 1981, mais aussi la conquête élec­torale de territoires entiers jusqu'alors acquis à la Démo­cratie chrétienne (la Bretagne et tout l'ouest de la France).

Politiquement, ces « cathos de gauche» ont réussi et ont fourni nombre des cadres de la France des années 1970 à 2000. Mais cette réussite s'est souvent traduite par un abandon de l'iden­tité chrétienne. Comme l'écrit Vincent Soulage dans un ouvrage capital, À la gauche du Christ. Les chrétiens de gauche en France de 1945 à nos jours (Seuil), "à l'heure des choix, le politique l'emporte souvent, et la plu­part intègrent la catégorie plus floue des militants d'origine chrétienne ". Le rocardisme ou la dilution du christianisme dans la politique? ∎

  Les catholiques de gauche.

J'ai retrouvé un article traitant de ce problème. Car problème il y a. Posons- nous déjà cette question : Un croyant a-t-il besoin d'autre chose que les enseignements de l'Évangile pour vivre en harmonie avec sa foi. Certains milieux l'ont pensé, d'autres le pensent-ils encore ?

Dans cet article Guillaume Tabard (FC n° 2008) attribue ce courant à l'influence de Michel Rocard, d'une interprétation hâtive du concile Vatican II et des chimères de mai 68. – "même le grand Maurice Clavel avait cru y déceler «l'œuvre de l'Esprit" - nous dit-il. Et d'une conception quasi messianique de la politique.

Il se peut qu'il ait raison sur certains points, mais je ne suis pas du tout d'accord sur tout. C'est peut-être comme cela a été interprété en région parisienne, mais pas partout en France Je ne l'ai pas vécu ainsi.

Il y avait à cette époque quelques journaux ou hebdomadaires dit "catholiques". Deux au moins, cherchaient à entraîner les catholiques vers la gauche. L'un ouvertement et presque brutalement, l'autre de façon plus subtile. L'outrance du premier ne pouvait attirer qu'un nombre restreint de catholiques extrémistes. L'autre était autrement plus dangereux car le poison était instillé à toutes petites doses qui pouvaient passées inaperçues par les lecteurs non méfiants. Cet hebdomadaire était dirigé par un proche d'un "socialiste" qui deviendra, plus tard président des français. Ce n'était pas Michel Rocard. Il n'y avait certainement pas eu d'entente écrite entre ces deux hommes et ce n'est peut-être que des rumeurs, mais pourtant un lecteur attentif, même peu attentif, pouvait y déceler, chaque semaine, les petites doses d'intoxication devant diriger les chrétiens vers le socialisme.

Puis, il y eu mai 68. Les catholiques, surtout les plus jeunes, voulaient bien continuer à être considérés comme croyants, mais ne voulaient plus passer pour des demeurés, niais, qui suivaient le troupeau en bêlant bêtement. Ils voulaient être des chrétiens virils, intelligents, pas comme les catholiques traditionnels obéissant sans ne jamais broncher aux ordres de Rome. Et c'est là que l'on voit le terrorisme intellectuel qu'exerçaient la gauche et son antichristianisme viscéral

L'OBJECTIF ETAIT DE FAIRE ELIRE MACRON.

Le mystère !
Pour nous autres les "cons des sans dents", l'élection de Macron reste une énigme. On se pose, euh pardon ! Nous nous posons beaucoup de questions, mais des réponses niet ! Aucune satisfaisante. Et les explications que nous trouvons sur Internet, ne font qu'en  rajouter. Car, enfin, voilà un type pratiquement inconnu un an auparavant, jamais élu où que ce soit –même pas dans le dernier trou perdu de la France- propulsé président de la République –encore- française- en 2017. Serait-ce une opération du Saint-Esprit ? Nous ne voyons pas ce que le Saint-Esprit viendrait faire dans ce tour de magie ?
Effectivement, on –excusez-moi encore- NOUS pourrions penser qu'il s'agit d'un tour magie et presque de la sorcellerie :

Premier acte: Dominique Strauss-Kahn.
Etait-ce parce-que Macron était encore un peu jeune? En tout cas, ON –ce coup-ci le on est bien utilisé- On -disais-je- élimine Strauss-Kahn qui a trop de personnalité pour se laisser manipuler et, en guise de transition, ON laisse élire un président ordinaire. Tellement ordinaire qu'il ne pourra durer qu'un quinquennat. Coup  réussi……….. Sauf pour la France !!

Deuxième acte : François Fillon :
Mais, accident inattendu, grain de sable dans les rouages, ou suite dans les machinations ? C'est François Fillon qui sort vainqueur des primaires de la droite. Mais quoi ! Fillon est considéré intègre par les cons des sans dents et en plus,  -un comble !- il se dit catholique! Pas de panique ! ON va lui sortir quelques casseroles qui vont l'envoyer directement aux enfers, puisqu'il y croit. Fillon a fait ce que tous –ou presque- les parlementaires font, mais la presse, acquise à la cause, aidant ça marchera surement. Et ça marche ! Et non seulement ça marche, mais ça court ! Voilà un autre concurrent éliminé !
Reste que les cons des sans dents se posent quand même des questions. Comment se fait-il qu'alors que Sarkozy et Juppé dépassaient largement Fillon dans les sondages, ce soit celui-ci qui sorte vainqueur des primaires ? Encore des manipulations du peuple ?

Troisième acte Benoît Hamon :
Restent les nombreux autres dont Benoît Hamon ! Hamon ? Qui c'est suilà ? Heu !? Eh bien c'est celui qui est sorti vainqueur des primaires du parti socialiste ! Le pauvre ! Avec le bilan catastrophique que son président ordinaire et son parti laissent derrière eux, il n'ira pas bien loin notre petit Benoît.
Bien vu ! Hamon disparaitra dans les méandres de la politique. ON le laissera juste sortir la tête de temps en temps pour qu'il puisse respirer.

Mais là aussi ? Les sondages ne donnaient-ils  pas le catalan-espagnol (Manolito) Valls ou Montebourg vainqueurs des primaires du parti socialiste ? Que s'est-il passé ?

Et les autres ? Les autres ! ON, sait très bien que les français n'écoutent pas les programmes des "petits" candidats. Puisqu'ils ne sont pas célèbres, ils n'ont aucune chance ! Donc la voie est libre pour  l'homme qu'ON a désigné.

Quatrième acte: Marine le Pen:
Reste la dernière concurrente, Marine le Pen. Pas de problème avec celle-là. Les  cerveaux des cons des sans dents que nous sommes ont tellement été conditionnés, manipulés et lavés avec Omo ou Mirlaine, que même si les dirigeants du FN, quels qu'ils soient, marchaient sur l'eau et multipliaient les pains, ils ne seraient jamais élus à la présidentielle.

 La voie royale –pardon présidentielle- est ouverte au Macron de service !
Parmi les cons des sans dents que nous sommes, on peut penser que c'est comme la lessive qui lave plus blanc que blanc ! Il y a des cons qui sont encore plus cons que d'autres.

Et après toutes ces "circonstances quelque peu étranges" Macron est élu ! Vive la République et vive la France.

Mais ce Macron d'où  il sort ? De la lampe magique d'Aladin ?  Non, pas tout à fait d'une  lampe comme le génie, mais,  à un poil prés ce serait presque ça. Ont frotté la lampe magique marque Rothschild- Goldman Sachs,  les Jacques Attali et Pierre Bergé (nous pouvons nous demander qu'est-ce que viennent foutre dans les affaires de l'État ces deux individus et ceux qui vont suivre ?) Alain Minc et Bernard Henri Levy, Bernard Kouchner et Cohn-Bendit, L. Joffrin et Patrick Dahi, et, accessoirement, aussi notre ex-président ordinaire, mais lui, ce n'était peut-être pas de sa propre volonté.

Sans avoir besoin de chercher on s'aperçoit que tous ces noms (ou presque) viennent du côté de Jérusalem ou de Jéricho. Il n'y aurait rien d'étonnant non plus qu'ils aient fait aussi un petit apprentissage chez les maçons puisque, souvent, ces gens-là se retrouvent aux mêmes endroits. Endroits secrets et tordus !! 

Ce qui est curieux quand même là-dedans, c'est cette amitié ou cette dépendance vis-à-vis de ON puisque sur le papier ils sont ennemis!
Mais ces personnes-là ne sont que des sous-fifres. Les gros manitous, ils sont bien planqués à l'abri des regards de la populace que nous sommes. Ils sont bien cachés derrière des montagnes d'Euros ou plutôt de dollars, des comptes en banque et des grosses affaires aussi noires que des nuits sans lune.

ON a aussi besoin de politiciens. A ceux-ci  ON leur laissera croire  que c'est eux qui gouvernent. Ils n'y croiront pas tout-à-fait, mais leurs égos et les avantages qu'ils en tireront leurs feront oublier tout le reste.

Si ce n'est pas comme  ça qu'ON  a planifié et amené sur un plateau mon bon petit Macron à la France Nous ne devons pas être loin de la réalité.

Et les Cons-des- sans-dents  l'ont élu sans problèmes et sans poser de questions.
Restait un tout petit problème. Macron élu, c'est bien mais il lui fallait une majorité. Pas de problème ! Un mois a suffi aux medias pour retourner la France comme on retourne une crêpe. Ce qui prouve qu'ON a arrosé large et profond.

Judas se vendit pour 30 pièces de monnaie. Et des Judas il y en a eu ! Il y en a ! Il y en aura toujours ?

Reste à savoir qui est ON.  Pour cela il faut se demander à qui profite le crime. Ceci est de plus en plus  flagrant.

RÉFLEXIONS SUITE

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A la relecture d'un article publié en  2006 et regroupant une sélection d'opinions ou d'articles de journaux à propos du réchauffement climatique, on se demande comment avions-nous pu échappé à la mort  par angoisse à cette époque. Un vrai scénario catastrophe ! L'apocalypse !

Par exemple :

Le Figaro du 6 novembre : 30 % des infrastructures côtières d'Afrique risquent d'être submergées.

Le Nouvel Observateur 9 novembre : Le réchauffement climatique coûtera à l'économie mondiale quelque 5 500 milliards d'euros et provoquera une récession plus terrible que la crise de 1929.

Puis il cite un rapport de Nicholas Stern : Si les gouvernements n'agissent pas dans les dix prochaines années, le réchauffement climatique provoquera le déplacement de 200 millions de personnes, la disparition de 40 % des espèces vivantes et les coûts pour l'économie mondiale seront supérieurs à ceux des deux guerres mondiales.

Le Monde du 4 novembre : Disparition totale des stocks de poissons en 2050. Les océans seront devenus stériles au milieu du siècle.

Libération du 7 novembre : Il faut changer partout les comportements en matière d'utilisation d'énergie, des transports, du traitement des ordures ménagères, de l'utilisation de l'eau…  les atteintes portées à notre environnement, non seulement seront irréversibles et auront provoqué des bouleversements dans tous les secteurs d'activités, mais porteront atteintes directement à la physiologie humaine.

L'Express du 9 novembre : Il faut repenser notre façon de consommer. Consommer moins, consommer mieux, repenser l'agriculture, optimiser les déplacements.

 Les personnes qui, comme moi,  ont l'expérience que donne le nombre des années ont déjà connu ce genre d'oiseaux de mauvais augure que sont les médias.

Ils nous prennent vraiment pour des cons -disait un ouvrier plâtrier qui n'avait pas fait de hautes études, mais avait la sagesse que procure une vie de rude labeur. Et de continuer: -il parait que la terre existe depuis trois milliards d'années et ça va s'arrêter comme ça d'un seul coup-!

Il est vrai qu'ils nous annoncé plusieurs fois la fin du monde. Au moins celle du monde occidental et principalement celui de la France.

Rappelez-vous en 1974 et le choc pétrolier. C'était vraiment l'apocalypse ! Les énergies fossiles étaient en train de se terminer. Rien ne serait plus comme avant ! Il fallait vraiment changer nos modes de vies, utiliser les transports communs, d'autres moyens de chauffage, inventer ou choisir d'autres énergies etc. etc. Bref presque la fin du monde.

Plus de quarante plus tard, le pétrole continue de couler à flots et des articles nous disent que les puits ne sont exploités qu'à 5 % de leurs capacités. Il arrive même que des pays à certaines époques soient obligés de brader leur production. Où sont partis les oiseaux de mauvais augure qui nous prédisaient une mort imminente de  notre société?

Pas très loin !   1976 année de sécheresse et rebelote. Même scénario catastrophe ! Les nappes phréatiques étaient au plus bas, végétation desséchée, récoltes réduites au minimum, la France allait ressembler au désert du Sahara. Tout y passa ! Nous allions bientôt mourir de soif ! Et voilà que ces messieurs-dames prirent tout un tas de mesures draconiennes pour limiter les dégâts. Certainement pas inutiles sur le moment, mais pourquoi alarmer les gens à ce point ? Pourquoi, tout simplement, ne pas parler en vérité ? N'est-ce pas prendre les gens pour des attardés mentaux ? C'est là que j'entendis cette phrase : -" Ils nous prennent vraiment pour des cons ! La terre existe depuis trois milliards d'années –paraît-il- et tout  va  s'arrêter comme ça d'un seul coup-! Logique implacable venant de gens que les intellos appellent des gens "simples",  mais logique indiscutable !

Et après le choc pétrolier et la sécheresse vint le trou dans la couche d'ozone ou la destruction de la couche d'ozone. Là encore culpabilisation à outrance ! Nous étions en train de détruire notre planète entière. Coupables: les aérosols principalement et tous ceux qui les utilisaient, mais aussi des substances libérées dans l’atmosphère comme les chlorofluorocarbones, (CFC), et les halons, que l'on trouve dans les systèmes de climatisation, de réfrigération, les aérosols et par certaines industries. Et voilà l'honnête citoyen empêché de dormir tranquille, culpabilisé quand il utilisait une bombe aérosol, son réfrigérateur et ne mettait pas sa climatisation en marche.

Puis, brusquement, le trou dans la couche d'ozone avait dû se résorber car on n'en entendit plus parler ! Mystères de l'"information" ! Mais le peuple se pose quand même des questions !

Ne croyez pas que les médias vont s'arrêter en si bon chemin. Après toutes ces prévisions catastrophiques, il fallait bien trouver autre chose pour remplir les colonnes des journaux et les espaces temps dans les journaux télévisés. Vînt tout à fait à point le réchauffement climatique. Ah le réchauffement climatique ! Que de colonnes as-tu garni ! Que de salive as-tu fais couler ! Que d'élucubrations as-tu inspiré ! Combien de conférences as-tu provoqué chez les grands de ce monde ? Combien de personnes se sont réunies en ton nom ? Combien d'argent auras-tu fais dépenser ?

On nous montre des images catastrophes. Des énormes pans de glace s'écrouler dans la mer comme si c'était les premiers et que ce scénario ne se reproduisait pas tous les ans depuis des millions d'années ! Le niveau des mers allait remonter de je ne sais combien de centimètres. Pour un peu il arriverait au sommet de la tour Eiffel ! Coupables : la société de consommation et le mode de vie de l'homme moderne !

On nous prend vraiment pour des imbéciles, des retardés mentaux, des inconscients et autres qualificatifs tous aussi flatteurs les uns comme les autres. Des gens qu'il faut prendre par la main et les guider pour ne pas qu'ils fassent des bêtises. Pauvre France !

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 Voici l’image type du français de ce début de siècle.

Si jamais vous n’êtes pas comme ça, au mieux vous n’êtes pas intéressant, au pire vous êtes un facho. Pour être conforme à ce que l’intelligentsia attend de vous il faut :
• Que vous lisiez les journaux, écoutiez la radio, regardiez la télévision et que votre opinion soit calquée sur la mentalité de ces messieurs-dames de la haute. (intelligence) Voilà la façon dont vous devez penser.
• Pédophilie. A propos de la pédophilie, il faut que vous défendiez le pauvre Polanski. après toutes ces années on lui cherche encore des histoires ! (Qu’il ait sodomisé une gamine, ça, vous ne devez pas chercher à le savoir !) Par contre il faut attaquer Benoît XVI et plus les attaques seront dures et plus vous en sortirez auréolé !
• Homosexualité :
Publiquement vous devez être très tolérant. Ce sont des gens comme tout le monde qui ont le droit à notre considération ! En privé, vous pouvez dire tout ce que vous voulez sur les « pédés ». Plus les blagues seront « dégueulasses » plus le monde rigolera. Attention, il faut être sûr de votre auditoire et il ne faut pas qu’il y ait de micro qui traîne par là !!
• Islam :
Aie ! Publiquement, soyez tout en nuance. En ce qui concerne la France vous êtes pour la laïcité. Pas de voile à l’école, pas de burka ! Par contre, hum ! heu…oui ! vous n’êtes pas contre la construction de mosquées –il faut bien que les musulmans puissent pratiquer leur religion- et les suisses qui ont voté contre la construction de minarets ont un comportement de facho. En privé, vous pouvez tenir les propos les plus racistes 99.9 % de votre auditoire français de souche, vous approuvera.
• Liberté d’expression.
Tout le monde doit jouir de la liberté d’expression. Surtout si ceux qui s’expriment sont puissants et surtout violents. Ils seront d’autant plus écoutés s’ils vont dans le sens de votre marche. Tout le monde ? Vous avez dit tout le monde ? Ah non ! pas tous ! Les cathos ont juste le droit de fermer leur gueules. On n’a pas idée d’aller à contre courant de la pensée unique et le politiquement correct !!
• Religion :
Les musulmans et les juifs ont le droit d’exister et de faire leurs prières – même dans la rue- sans soulever le moindre commentaire, du moins en public. (Vous pouvez le faire en privé et hors micros et caméras) il ne faut surtout pas être raciste !- Par contre il est de bon ton, et c’est très bien vu, de se moquer de la religion catholique. Et si vous êtes pour son éradication et la négation de ses racines chrétiennes, c’est encore mieux ! Vous pouvez être tranquille et rassuré aucun chrétien ne viendra mettre le feu à votre voiture ni à votre maison.
• Politique :
Bien sûr vous êtes de gauche et vous le proclamez. Ce qui est curieux, c’est que personne (ou presque) n’est de droite et encore moins d’extrême-droite. Et pourtant au comptage des bulletins de vote, il y a des bulletins –et souvent majoritairement- pour la droite. Et même pour l’extrême-droite ! Curieux ! Non ? d’où y sortent ces bulletins là ? Sachez qu’il est aussi de bon ton de traîner les hommes politiques dans la boue, mais attaquez les hommes, pas les idées.
• Deuil:
Ah oui ! il faut aussi parler du deuil. Maintenant l’homme coulé dans le moule de l’enseignement et des médias, doit pouvoir faire « un travail » de deuil. Sans ce travail vous ne pourrez plus jamais être heureux. Mieux ! Vous pouvez faire appel à soutien psychologique. Puis, pour ne pas être traumatisé, il faut vite mettre le cadavre dans les frigos d’un funérarium. De cette façon le mort ne viendra plus hanter vos pensées et vous pourrez continuer votre petite vie tranquille.
• Familles:
Evidemment, les plus heureuses sont les familles recomposées. L’opinion des enfants ? bah ! maintenant ils trouvent ça normal et on ne va quand même pas sacrifier son bonheur en pensant que cela peut leur causer quelques petits traumatismes éventuels.
• La vieillesse :
ça ! il vaut mieux ne pas y penser ! C’est les autres qui vieilliront, pas vous. ça c’est fait pour les autres. En attendant, nos vieux à nous, on les met en maison de retraite. Nous on n’a pas le temps de s’en occuper et en plus, là ils seront bien mieux soignés.
• L’âge :
Quel que soit votre âge, c’est l'âge idéal. Si vous êtes vieux… Vieux quel mot horrible ! Non ! Vous ne faites partie que du troisième âge ! Vous avez l’obligation de vous sentir jeunes, de manger bio, de beaucoup voyager, d’être bronzé et dynamique.
• Ecologie.
Forcément, obligatoirement vous êtes écolo. Vous devez êtes préoccupé par le réchauffement planétaire, les centrales nucléaires, la pollution, la surexploitation des terres agricoles ( par des agriculteurs dont le seul but est le pognon etc.etc.) Mais les détritus, canettes de bière, plastiques, paquets de cigarettes, mégots, bouteilles, serviettes hygiéniques et les déjections le long des routes, bien sûr, ce n’est pas vous, c’est les autres. Ne vous attardez pas à penser qui se charge de les enlever et d’entretenir les champs et les forêts ce n’est pas votre problème.
• Euthanasie.
Vous êtes, bien sur, pour vous avez bien vus ces cas à la télévision. Cette mère délivrant son fils de ses souffrances (en même temps, elle se débarrassait des siennes !) donc vous devez être pour. Personne ne doit pouvoir vous emmerder et ni empêcher de mener votre petite vie tranquille. Et surtout pas les vieux ni les handicapés.

Voilà la pensée des nouveaux « puissants ». Soyez le citoyen lambda que l’on vient de vous décrire et n’oubliez pas que vous avez aussi le droit de fermer vous gueules…… si vous voulez vivre tranquilles.

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Longtemps j'ai été abonné à un hebdomadaire "catholique" illustré. Je me faisais un devoir de soutenir la presse catholique. Les premières années, je n'ai rien senti de très grave. Il y avait bien quelques prises de position qui me faisait froncer les sourcils, mais rien de bien grave. Mais d'année en années je percevais de plus en plus les doses subtiles de manipulation. Il est vrai qu'elles devenaient de plus en plus perceptibles. L'empoisonneur pense que l'organisme de sa victime s'est habitué au poison et qu'il faut augmenter les doses. Ce n'était pas mon cas. Cette revue ne suivait vraiment plus l'enseignement de l'Église. Le conditionnement des lecteurs devenait flagrant. Qui plus est, elle avait supprimé le mot catholique de son titre "pour toucher un plus grand nombre de lecteurs" paraît-il. J'avais fini par résilier mon abonnement, et cela d'autant plus qu'un autre hebdomadaire chrétien venait de naître. 
 
J'avais gardé beaucoup d'articles comme preuves dans la perspective de décrire un jour les dérives de cette presse dite "catholique". Une peine que j'aurais pu m'éviter si j'avais su que son fondateur allait écrire un livre "au Pape et aux évêques". Un livre qui résumait tout ce que ses journalistes rabâchaient depuis des décennies :

• Il y écrit son inquiétude sur les suspicions portées sur la théologie de la libération : le journal l'a toujours mis en avant en la présentant –pour faire bref- comme le défenseur de la lutte des pauvres contre l'opulence, l'exploitation et le mépris des riches. L'Évangile ne suffit-il pas comme ligne de conduite d'un chrétien pour qu'il ressente le besoin de lui ajouter des touches de marxisme ?

• Inquiet aussi pour la réduction au silence de Leonardo Boff. Un prêtre, en tant que prêtre, ne doit-il pas se tenir à l'écart de la politique ? Il aurait pu (ou dû) choisir entre la politique et son ministère. Et pourquoi prendre la religion comme support ?

• Inquiet sur les restrictions apportées aux cérémonies pénitentielles. La démarche de déballer ses fautes devant un homme est devenu humiliante à nos contemporains. On devrait se poser les questions suivantes : pourquoi cet homme, qui ne devrait pas être, pour nous chrétiens, un homme quelconque puisqu'il a reçu le sacrement de l'Ordre, est-il devenu un citoyen comme un autre ? Et à qui la faute ? C'est pourquoi les chrétiens de progrès (je dirais dans ce cas, de facilité) préfèrent les cérémonies pénitentielles où la démarche personnelle devient facile.

• Préoccupé pour la reprise en main de l'Église de Hollande. Je n'ai pas assez d'information sur ce sujet pour faire un commentaire, mais a en juger par cette "préoccupation", l'Église hollandaise devait suivre ou même aller plus loin que sa propre vision de ce que devrait être la religion de notre temps.

• Préoccupé par certaines dispositions du nouveau code du droit canon qui ne devaient pas cadrer avec sa propre vision de la chrétienté de "progrès".

• Et aussi sur l'insistance mise sur la morale sexuelle et conjugale traditionnelle. Autrement dit l'Eglise devrait se mettre au gout du jour des mœurs issues de mai 1968

(En fait, il faut faire comme pharisien et le publicain, mais inversement: Tu vois, moi je ne pense pas être bon. Je ne me mets en avant comme le font les "bons chrétiens". Je baise la femme de mon prochain, mais je le fais avec amour. Je n'ai pas une bonne opinion de la hiérarchie catholique. Je pense que la plupart des choses qu'elle dit sont des conneries, mais …..je suis inscrit à la CGT et me sens proche des travailleurs; je hais les patrons; je condamne fermement les dictatures d'Amérique latine et, en général toutes les droites du monde; je suis d'accord avec Leonardo Boff, Hans Kung et tous les contestataires, avec les idées du planning familial et pour l'avortement; je fais, et le dit haut et fort, l'amalgame entre les catholiques traditionalistes et l'extrême droite; J'ai honte de Pie XII et son "silence", de Jean Paul II qui est contre le préservatif, de Benoît XVI parce qu'il n'est rien d'autre que le cardinal Ratzinger et j'ai toujours condamné ses prise de positions quand il était préfet de la congrégation pour doctrine de la foi; je milite et vote à gauche parce que je m'en sens plus proche que des gens qui fréquente les bancs des églises etc. Donc, Tu vois Seigneur, je suis bien meilleur que ces chrétiens "traditionnels" que, parce qu'ils sont dans la droite ligne du pape, se croient dans la vérité !)
• Inquiet sur la fermeture de tout espoir d'ordination d'hommes mariés. Là, j'avoue être stupéfait car j'ai connu des prêtres ayant été mariés. Il s'agissait bien sûr d'hommes veufs, alors que notre fondateur de journaux devait penser aux hommes mariés.
• Inquiet aussi de la fermeture de l'espoir d'élargissement de la place des femmes dans l'église.
• Préoccupé par les propos du cardinal Ratzinger sur la "décadence" de l'Eglise depuis le concile. Toutes ces raisons lui font craindre un repliement frileux sur des positions de "chrétienté". Notre homme, en définitive, demande que le pape et les évêques du synode, non seulement ne stoppent pas, mais au contraire donnent un nouvel élan "à la nécessaire adaptation de l'Eglise aux conditions du monde d'aujourd'hui".
Toutes ces positions et bien d'autres si cela n'aurait pas suffit, se retrouvaient chaque semaine dans les pages de la revue. Sympathie pour les positions allant dans leur sens, réprobation à peine voilées envers celles qui vont à l'encontre.

Avant de poursuivre, on peut se demander quel est exactement le rôle de l'Eglise à travers les siècles. Les successeurs de Pierre ne sont-ils pas là pour continuer de proclamer la "Bonne Nouvelle" telle qu'Elle nous a été transmise par les évangiles ? Si elle "s'adapte" à chaque époque, la religion ne devient-elle pas une "chose" inventée par les hommes au gré de l'évolution des mœurs ? Certes, les rites peuvent (et devraient changer) pour que le langage "colle" avec celui des contemporains. Mais si le fond change ce n'est plus l'enseignement de Jésus-Christ que l'on entend, sinon celui d'hommes et de femmes qui s'en sont approprié.
Prenons comme exemple, celui de l'avortement: Il est admis maintenant –et si vous dites le contraire, vous êtes étiqueté d'extrême droite- que la femme a le droit de disposer de son corps. Les "chrétiens" dits progressistes, -c'est-à-dire ceux qui sont pour l'adaptation (de la religion à notre temps) sont d'accord avec ce principe et leur presse met en avant des cas douloureux certes, mais extrêmes pour mieux étayer leurs arguments. Si l'Église à travers la voix du pape ou des évêques admettait cet "aggiornamento", elle irait complètement à l'encontre des évangiles et du décalogue où il est dit : Tu ne tueras point. En admettant que la femme ait le droit de disposer de son corps comme on le dit et si elle veut se jeter du haut d'une falaise ou se jeter devant un train, après tout libre à elle. (Et encore si vous étiez présent et vous la laissiez faire, vous seriez accusé de non assistance à personne en danger !) Mais le corps qu'elle porte en elle, si petit soit-il, n'est plus le sien, n'est pas le sien. C'est une tierce personne dont on n'a pas le droit de décider de sa vie ou de sa mort.
Les partisans de l'avortement, disent –eh bien, si les chrétiens ne sont pas d'accord, ils n'ont qu'à s'appliquer cette règle à eux-mêmes et nous foutre la paix- Mais comment peut-on assister impassibles à l'assassinat de 220 000 petits êtres par an en France et des millions dans le monde ? N'arrivera-t-il pas un jour, que les mœurs changeront et que les gens de cette époque diront –et les chrétiens ont assisté à ce massacre sans bouger un petit doigt !!

L'Église à travers le pape et les évêques ont donc le devoir impératif de rappeler envers et contre tout, ce que dit leur religion. Si elle disait le contraire, si elle disait que l'avortement n'est pas un crime ce ne serait plus les paroles de l'évangile de Jésus-Christ, mais une religion inventée au 21ème siècle. Où serait Dieu là-dedans ?

En revenant à notre homme et les journaux qu'il a créé et qui étaient tous dans la même ligne. Pendant les années 1977 à 1979 il y aura à sa tête comme directeur général du groupe des publications " un journaliste" qui assurera que Jésus-Christ n'a jamais existé et qu'il avait été probablement été inventé par les osiriens au IIème siècle. Curieusement même s'Il n'a jamais existé, Il avait quand même eu des relations homosexuelles "avec le disciple qu'il aimait". Mais -on en est pas à une contradiction près- Il se serait aussi marié avec Marie Magdeleine. Je ne suis pas sûr que ce soit lui, mais on a aussi dit que ce ne serait pas Jésus-Christ qui serait mort sur la croix, mais son frère jumeau.

Comment un homme comme celui là peut diriger des revues "catholiques", sans que ses idées transparaissent dans les articles, éditoriaux ou reportages des journalistes qu'il dirigeait ? Puis la suite ne sera pas mieux ! En 2003 le groupe de presse sera acheté par "le Monde" qui avait à sa tête deux dirigeants venant de l'extrême gauche. Les dégâts qu'ils auront occasionnés dans les rangs lecteurs sont incalculables. Et alors qu'il est vital que les chrétiens s'unissent pour mieux lutter contre la déchristianisation, ils ont créé une division où leurs adeptes préfèrent les athées et les anticléricaux aux catholiques qui ne suivent pas leur courant de pensées.

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Cher Roberto
Comme je vous l'ai insinué dans mon dernier message, votre cousin faisait partie de la communauté de Cervera et il se trouvait à l'Hôpital d'où il a été amené avec d'autres clarétains, comme on peut le voir dans le récit que je copie, directement au cimetière, où ils ont été fusillés le 18 (août).
Salutations.
FF. Alba, cmf

Voici le texte:
Tous debout! À minuit, entre le 17 et le 18, trois miliciens sont montés à l’étage où dormaient nos Missionnaires. L’un d’eux, nommé Solé a crié : Allez! Tous debout! Levez-vous, parce que nous devons vous conduire à un sanatorium.
On a aidé à s’habiller ceux qui étaient impotents, spécialement le P. Luis Jové, qui a dû être porté dans une civière. Un des Frères les plus âgés demanda, pendant qu’il avançait lentement appuyé sur sa canne : Vers midi, nous serons là, n’est-ce pas? L’assassin Solé lui répondit : Oui, mon vieux, et même avant.
Celui qui répondait avec tant d’affection était en réalité un personnage sinistre. Il était membre du Conseil Révolutionnaire de l’Hôpital et un élément très influent dans le Comité de Cervera. Quand on a offert aux détenus une occasion de sortir de l’Hôpital, c’est Solé qui signa, hypocritement, deux lettres pour les sollicitations; ensuite, il signa de lettres pour les autres. Mais la réponse arriva trop tard. Ils ont préféré, Solé comme les autres, devancer les démarches en fusillant tous les Missionnaires, pour contrecarrer la possibilité d’une réponse affirmative.
Cependant, cette nuit, Solé et Enrique étaient de mauvaise humeur contre les autres membres du Conseil d’Administration, parce qu’on avait passé à tous l’ordre d’être là pour la besogne de sortir les malades et les amener au cimetière, mais, malgré leur engagement, ils ont brillé par leur absence. Solé et Enrique s’en plaignaient : Tous sont très bons pour parler, et, vous voyez, au moment d’agir, ils nous laissent tout seuls.
Enrique était un vrai démon, dont la tâche à Cervera a consisté à aller chercher des gens et les tuer, selon le témoignage de Sœur Nativité dans le procès; et Sœur Concepción Brey ajoute que Solé était un boucher aussi acharné qu’Enrique.
En descendant l’escalier parmi ceux qui allaient au martyre, quelques-uns n’étaient ni vieillards ni malades. Le Frère Francisco Canals avait la charge d’infirmier et, dès le début, il refusa de partir. Ce courageux et dévoué Frère Missionnaire n’a voulu, pour rien au monde, abandonner ses chers frères malades : Je pourrais me sauver, mais je ne veux pas abandonner ces pauvres malades.
Le séminariste Evaristo Buería s’était réfugié à l’Hôpital. Une de ses sœurs est venue le chercher, mais il n’a pas voulu accepter la fuite : Je reste ici, parce que je désire le martyre d’une façon véhémente et extraordinaire. Maintenant, Dieu mettait dans ses mains la palme du martyre. La même chose est arrivée à ses compagnons José Loncán et Manuel Solé. L’autre séminariste, José Ausellé, était en pleine jeunesse bien cloué sur la croix d’une maladie grave et douloureuse.
Les bien-portants aidaient les plus malades à descendre l’escalier : le vétéran missionnaire de la Guinée Équatoriale, Frère José Ros, aveugle depuis vingt ans, et les Frères Buenaventura Reixach et Miguel Rovira, très âgés et impotents.
Le vénérable P. Heraclio Matute prit congé de Sœur Consolación Salla en lui donnant son crucifix de missionnaire et quelques pesetas qu’il gardait pour des dépenses éventuelles.
Le P. José María Serrano adressa à Sœur Concepción Brey un adieu gentil et sympathique : Adieu et bonne journée, ma Sœur! Merci pour tout! Les autres aussi disaient adieu aux Sœurs en les remerciant pour tout ce qu’elles avaient fait pour eux. Les Sœurs contemplaient stupéfaites et en pleurs ce départ, à la fois, triste et glorieux.
Sœur Natividad Ruano nous raconte que le P. Serrano, accablé par le mal de Pott, eut cependant la force et le courage d’adresser quelques mots sur Dieu au milicien José Solé, essayant de remuer les cendres de la foi de son enfance. Mais il lui répondit furieux : Tu penses encore à ces choses-là? Tu crois encore en Dieu?
En route vers le ciel
Le camion les attendait à la porte de l’Hôpital. Ils y montaient avec de grands efforts. Un milicien racontait à Isabel Morera qu’un des malades laissa échapper quelques gémissements de douleur et qu’il lui avait fermé la bouche d’un bon coup de crosse.
Le cimetière n’est pas loin de la ville. On peut le voir très bien depuis l’Hôpital. Le camion s’y est rendu en quelques brèves minutes. Tous descendirent du camion et, une fois entrés au cimetière et placés devant les fusils, ils ont commencé à crier : Vive le Christ-Roi! Vive le Christ-Roi!
Nous n’avons d’autres témoins que les miliciens, qui ont, tout de suite après, commenté l’événement dans toute la ville. Avec cela, ils ont apporté des données très utiles pour le Procès Informatif en vue de la béatification :
- Ils tombaient comme des mouches. Mais tous criaient Vive le Christ-Roi! Et c’étaient les jeunes ceux qui criaient le plus fort.
- Ils sont têtus! Tous meurent en criant la même exclamation. Ils n’ont pas voulu, pas même un seul, dire ce que nous leur demandions de dire.
Les cadavres sont restés là étendus sur le sol. Il manquait encore le dernier acte du drame.
(Du livre Missionnaires Clarétains Martyrs par Pedro Garcia)
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Vous avez dit "manipulation" ?

En février 1998, monseigneur Albert Rouet, évêque de Poitiers, refusait le baptême à Joël David. Raison de ce refus: monsieur Joël David était militant du Front National.
Monseigneur Rouet, magnanime, avait quand même laissé un choix au catéchumène : ou baptême ou militant frontiste.

On reste sans voix face à ce geste  i n a d m i s s i b l e venant de la part d'un évêque. Une atteinte caractérisée aux droits de l'homme. Qui plus est, l'intimité de monsieur David était jetée en pâture alors qu'elle fait justement partie de ces droits fondamentaux. Il se retrouvait balancé à la vindicte populaire étant donné le contexte créé par la manipulation médiatique politiquement correcte.  

Monseigneur avait ces arguments: Le Front National avait des idées racistes et xénophobes incompatibles avec l'Evangile. Il aurait fallu rappeler à notre charitable monseigneur que l'UDF avait fait voter l'avortement, (qui fera des millions de morts) que le PS l'avait fortement revendiqué, puis avait fait voter le pacs (et ce qui viendra après) Sans compter cette étrange connivence entre une partie du clergé et le Parti Communiste qui aura fait cent millions de mort là où il prit le pouvoir. Tout évêque que l'on soit, non seulement on peut manquer de charité, mais on peut, aussi, se faire manipuler. Il y avait encore des relents de  mai 68 !!!!!.

Elections :

La proportionnelle va faire le jeu du FN en lui permettant d'entrer dans les assemblées nationales ou locales tandis que le scrutin majoritaire ou le scrutin mixte avec prime majoritaire comme aux régionales lui bloquait l'accès au pouvoir. Si le Front national tend à faire jeu égal avec les coalitions de gauche et de droite, c'est l'inverse qui se produit. Faute d'alliés, la proportionnelle le condamnait à rester minoritaire. En étant simplement le plus gros des trois tiers, il peut gagner aujourd'hui des régions et demain des députés en grand nombre.

LES "BOBOS"

En France, le mot "bobo" est plutôt utilisé d’une manière péjorative pour désigner des personnes aisées se proclamant de gauche, mais dont les actes sont en contradiction avec les valeurs qu’ils prétendent défendre. Dans le langage enfantin un bobo est un mal ou une petite plaie sans gravité.
Ces deux définitions gentillettes sont celles que l’on peut trouver sur internet.
Éric Zemmour y consacre plusieurs pages sur son livre "le suicide français". Voici, résumée, sa définition : les bobos sont des bourgeois qui refusent l'embour­geoisement. Les bobos sont des prédateurs aux paroles de miel. Ils vénèrent « le peuple », sans doute pour effacer leur sen­timent de culpabilité.
La principale "qualité" des bobos est l’hypocrisie !
Enfin, on peut trouver des bobos un peu partout dans notre monde occidentalisé.
Mais pour définir les "bobos" sans langue de bois, il faut être beaucoup plus méchant, beaucoup plus explicite ou plus juste suivant de quel point de vue on se place.
Qui sont les bobos. D’abord une petite précision : le bobo éprouve plus ou moins des remords sur sa position sociale et refuse d’être classé dans la catégorie des bourgeois. Cette seule idée l’horripile. Il vote donc à gauche ou pour les écolos Ceux-ci sont daltoniens. Ils confondent le vert et le rouge ou plutôt le rouge et le vert.
Les politiciens de gauche. Déjà on peut affirmer sans peur de se faire attaquer en diffamation, ni trouver un contradicteur sincère, que pratiquement tous les politiciens de gauche sont des bobos. Il suffit pour s’en convaincre d’aller faire quelques recherches sur leurs revenus (qu’ils cachent ou maquillent soigneusement) ou sur leur comportement dans leur vie privée.
Les fonctionnaires. On peut classer aussi une grande partie des fonctionnaires dans les bobos. Partisans du moindre effort, nantis et privilégiés, ils revendiquent toujours un meilleur salaire et de meilleures conditions de travail. Ils sont aigris par la jalousie qu’ils éprouvent envers d’autres catégories sociales qu’ils croient plus favorisées, sans voir que ce sont celles qui contribuent à la prospérité du pays!
Les fainéants. On peut y mettre aussi tous les fainéants sans exceptions. Même s’ils ne sont pas tous aisés, ils aspirent à l’être sans faire d’efforts… en partageant la richesse des autres. Eux aussi votent à gauche ou écolo en espérant qu’un jour les politiciens qui promettent tout tiendront parole ! On trouve des spécimens de cette espèce un peu dans toutes les catégories sociales et professionnelles y compris les chômeurs.
Les catholiques "de gauche". Chez une certaine catégorie de catholiques, le sentiment de culpabilité est encore plus prononcé que chez les incroyants. Ils refusent avec horreur l’idée qu’on puisse les classer à droite, voire à l’extrême-droite. Ils ont tendu la main à la "main tendue" des communistes, mais refusent de serrer celle du voisin de banc à l’église parce-que c’est un patron et un patron c’est forcément un exploiteur. Ils préfèrent pactiser avec l’ennemi qu’avec leur "frères" en religion. Ils se proclament de gauche ou "progressistes" parce-que  ça fait bien !! Ça fait classe d’être catholiques, mais de gauche!! Ils n’ont pas évolué depuis les années 1970.
Les "bios" Les bobos sont forcément bios, ils achètent des baguettes  à l’ancienne et acceptent de payer des aliments beaucoup plus chers parce-qu’ils affichent une étiquette bio. Seraient-ils en plus un peu gogos ? Tout agriculteur sait qu’il est impossible d’avoir des produits entièrement bio dans notre environnement pollué et parasité.
Les hypocrites. Les hypocrites sont-ils en grande partie  bobos ou les bobos sont-ils en grande partie hypocrites ? Les bobos sont pour l’immigration, contre le racisme et la xénophobie. Ils ont volontiers des amis noirs, jaunes, juifs ou arabes et s’en vante publiquement,…….. Mais, à l’école, au collège et au lycée ils cherchent à "protéger" leurs enfants. Ils  profi­tent de leurs relations pour contourner la carte scolaire dès que leur école (collège ou lycée) est submergée d'enfants de l'immigration. (Citation Zemmour).
Les journalistes. Ah les journalistes ! Jamais la définition du mot bobo ne pourra mieux leur coller à la peau ! Coulés dans le moule bobo, rares sont ceux qui parle ou écrive autrement que dans le politiquement correct imposé par la profession. L’information n’est plus information, sinon une propagande digne d’une dictature impitoyable. Malheur à celui qui ne correspond pas à leur critère ! Ces bobos sont des prédateurs aux paroles de miel. Ils font semblant de défendre  le peuple, sans doute pour effacer leur sen­timent de culpabilité. Ne font-ils pas partie –moralement- des exploiteurs ?
Finalement quand ils se regardent dans un miroir, ils doivent y voir une tête de mouton. Panurge, vous connaissez ?
Les enseignants : s’il y une catégorie socio-professionnelle qui représente encore mieux les bobos que les journalistes, c’est bien celle des enseignants. Les enseignants ont été formés pour façonner, modeler, pétrir, diriger et, s’il le faut contraindre, les mentalités des enfants aux "valeurs de la république". C’est-à-dire leurs valeurs de "gauche". Toutes les autres sont bannies. Tant et si bien que les étudiants finissent leurs études tels des robots clonés. (Seule l’expérience de la vie et le secret de l’isoloir les feront changer d’opinion).  C’est ainsi qu’on leur a appris à s’horrifier de la mort d’une souris de laboratoire, mais à trouver tout à fait normal qu’on assassine 220 mille petits humains chaque année et à y voir une marque de progrès.

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A propos de la Révolution Française.

Le 13 janvier 2013, notre Mélenchon national (et Alexis Corbière) écrivent à Remy Pflimlin, président de France Télévision pour protester contre le contenu d’un documentaire diffusé par France 3 avec le titre : "Robespierre, bourreau de la Vendée ?".

 Ils y disaient à quelque chose près : le contenu idéologique, politique et historique de cette émission reprend à son compte toutes les calomnies et les mensonges contre-révolutionnaires et antirépublicains d’inspiration d’extrême droite et monarchiste qui perdurent depuis deux siècles.

En lisant cela on peut se demander comment un tel degré de mauvaise foi est-il possible ? Elle atteint là (la mauvaise foi) le maximum, le paroxysme, le summum de tout ce qui est possible d’imaginer. Si on a les idées que  monsieur Jean-Luc veut bien nous faire croire qu’il a lui-même, on peut, à la rigueur dire, comme il a été souvent dit à propos d’autres choses, qu’il en est resté quelque chose de globalement positif.

Mais comment nier l’évidence, les preuves les plus tangibles sur son caractère antireligieux. Comment nier la terreur, avec l’horreur de la guillotine ? ;  le massacre systématique des vendéens hommes, femmes et enfants ?;  les prétendues liberté, égalité, fraternité ? (On voit par exemple que seuls les citoyens mâles, travaillant, avaient le droit de vote. Les domestiques, les pauvres, les femmes et ceux qui avaient été proscrits étaient exclus.  

Les femmes ! Si les femmes crurent au début à un mouvement d’émancipation, elles déchantèrent vite. Avec l’instauration de la "dictature de la morale" par Robespierre, la condition féminine est reléguée quasiment au temps des cavernes. La fessée publique devient une pratique courante. Les viols et les violences deviennent monnaie courante. Le code Napoléon en rajoutera encore. Un "montagnard" dira : Attendu que la femme est incapable d’une bonne gestion, il est normal que son époux possède l’administration complète de ses biens. Veuves, elles dépendront entièrement du bon vouloir des conseils de famille.

Comment nier aussi l’assassinat de 117 000 vendéens en prenant le chiffre le plus bas et 300 000 si on en croit d’autres historiens. On massacrait les hommes parce-que combattants, les enfants parce-qu’ ils le deviendraient peut-être un jour et les femmes qu’ elles pourraient en enfanter ?

Comment nier jusqu’au tannage de peau des vendéens avec lesquels les révolutionnaires se faisaient faire des culottes ou faisaient relier les exemplaires de la Constitution ?

Comment peut-on  nier, effacer, gommer tous ces faits sans une couche de mauvaise foi dépassant l’entendement ?

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La tentation de la dictature

Le pouvoir, devrait avoir pour finalité le bien commun : le service des autres et non pas le service de soi. Or, ce qui corrompt le pou­voir, c'est qu'il est tenté d'assurer sa réélection plutôt que de faire progresser le pays. Il recherche la longévité plutôt que la qualité ; le goût de rester plutôt que prendre les bonnes décisions ou rechercher les meilleures solutions quitte à prendre des décisions impopulaires.

Ces tentations sont inhérentes à l'exercice de toute autorité, mais les  socialistes y sont d'autant plus soumis aujourd'hui, que ses membres sont  sujets à l'emballement et à la précipitation de peur de perdre trop vite ces places qu'ils ont mis si longtemps à gagner.

C’est le souci du « J'y suis, j'y reste » qui augmente l’ardeur qu’ils mettent pour consolider tout de suite leur position en plaçant leurs amis aux postes-clés. Ils ne peuvent pas supporter de voir encore à des places stratégiques, des responsables qui ne soient pas de leur clan.

Rien de ces comportements ne devrait nous surprendre, mais cette fois c’est pire. Ils ont échoué sur tous les fronts : chômage, économie, communication, immigration etc..Ils se sentent rejetés par une énorme majorité d’électeurs. Ils savent que leurs jours comptés et qu’ils ne peuvent même pas rêver d’être réélus. C’est cette raison qui explique cet acharnement à  "faire passer" des lois qui leur tienne à cœur, sans se soucier des graves divisions qu’ils créent dans la population.

Mais il y a un domaine où cet abus de pouvoir est encore plus grave : c’est celui de la manipulation et le conditionnement des enfants et des jeunes, principalement par le ministère de l’Enseignement ou celui de la "Justice" relayés par les médias acquis à leur cause.

Nous voyons que la tentation de quadriller l'Etat est complétée par celle de récupérer, sous le masque hypocrite de laïcité, le contrôle et la destruction des valeurs fondamentales. La liberté est gravement en danger. Le socialisme régnant, non content d'occuper le terrain, veut y semer ses idées, en exclusivité, pour les générations futures. Le vernis et l’apparence de démocratie disparaît pour laisser la place à ce qu’a toujours été le socialisme : Une dictature prête à étouffer tous ceux qui ne pensent comme lui.

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Longtemps j'ai été abonné à un hebdomadaire "catholique" illustré. Je me faisais un devoir de soutenir la presse catholique. Les premières années, je n'ai rien senti de très grave. Il y avait bien quelques prises de position qui me faisait froncer les sourcils, mais rien de bien grave. Mais d'année en années je percevais de plus en plus les doses subtiles de manipulation. Il est vrai qu'elles devenaient de plus en plus perceptibles. L'empoisonneur pense que l'organisme de sa victime s'est habitué au poison et qu'il faut augmenter les doses. Ce n'était pas mon cas. Cette revue ne suivait vraiment plus l'enseignement de l'Église. Le conditionnement des lecteurs devenait flagrant. Qui plus est, elle avait supprimé le mot catholique de son titre "pour toucher un plus grand nombre de lecteurs" paraît-il. J'avais fini par résilier mon abonnement, et cela d'autant plus qu'un autre hebdomadaire chrétien venait de naître.

J'avais gardé beaucoup d'articles comme preuves dans la perspective de décrire un jour les dérives de cette presse dite "catholique". Une peine que j'aurais pu m'éviter si j'avais su que son fondateur allait écrire un livre "au Pape et aux évêques". Un livre qui résumait tout ce que ses journalistes rabâchaient depuis des décennies :

• Il y écrit son inquiétude sur les suspicions portées sur la théologie de la libération : le journal l'a toujours mis en avant en la présentant –pour faire bref- comme le défenseur de la lutte des pauvres contre l'opulence, l'exploitation et le mépris des riches. L'Évangile ne suffit-il pas comme ligne de conduite d'un chrétien pour qu'il ressente le besoin de lui ajouter des touches de marxisme ?

• Inquiet aussi pour la réduction au silence de Leonardo Boff. Un prêtre, en tant que prêtre, ne doit-il pas se tenir à l'écart de la politique ? Il aurait pu (ou dû) choisir entre la politique et son ministère. Et pourquoi prendre la religion comme support ?

• Inquiet sur les restrictions apportées aux cérémonies pénitentielles. La démarche de déballer ses fautes devant un homme est devenu humiliante à nos contemporains. On devrait se poser les questions suivantes : pourquoi cet homme, qui ne devrait pas être, pour nous chrétiens, un homme quelconque puisqu'il a reçu le sacrement de l'Ordre, est-il devenu un citoyen comme un autre ? Et à qui la faute ? C'est pourquoi les chrétiens de progrès (je dirais dans ce cas, de facilité) préfèrent les cérémonies pénitentielles où la démarche personnelle devient facile.

• Préoccupé pour la reprise en main de l'Église de Hollande. Je n'ai pas assez d'information sur ce sujet pour faire un commentaire, mais a en juger par cette "préoccupation", l'Église hollandaise devait suivre ou même aller plus loin que sa propre vision de ce que devrait être la religion de notre temps.

• Préoccupé par certaines dispositions du nouveau code du droit canon qui ne devaient pas cadrer avec sa propre vision de la chrétienté de "progrès".

• Et aussi sur l'insistance mise sur la morale sexuelle et conjugale traditionnelle. Autrement dit l'Eglise devrait se mettre au gout du jour des mœurs issues de mai 1968

(En fait, faire comme pharisien et le publicain, mais inversement: Tu vois, moi je ne pense pas être bon. Je ne me mets en avant comme le font les "bons chrétiens". Je baise la femme de mon prochain, mais je le fais avec amour. Je n'ai pas une bonne opinion de la hiérarchie catholique. Je pense que la plupart des choses qu'elle dit sont des conneries, mais …..je suis inscrit à la CGT et me sens proche des travailleurs; je hais les patrons; je condamne fermement les dictatures d'Amérique latine et, en général toutes les droites du monde; je suis d'accord avec Leonardo Boff, Hans Kung et tous les contestataires, avec les idées du planning familial et pour l'avortement; je fais, et le dit haut et fort, l'amalgame entre les catholiques traditionalistes et l'extrême droite; J'ai honte de Pie XII et son "silence", de Jean Paul II qui est contre le préservatif, de Benoît XVI parce qu'il n'est rien d'autre que le cardinal Ratzinger et j'ai toujours condamné ses prise de positions quand il était préfet de la congrégation pour doctrine de la foi; je milite et vote à gauche parce que je m'en sens plus proche que des gens qui fréquente les bancs des églises etc. Donc, Tu vois Seigneur, je suis bien meilleur que ces chrétiens "traditionnels" que, parce qu'ils sont dans la droite ligne du pape, se croient dans la vérité !)

• Inquiet sur la fermeture de tout espoir d'ordination d'hommes mariés. Là, j'avoue être stupéfait car j'ai connu des prêtres ayant été mariés. Il s'agissait bien sûr d'hommes veufs, alors que notre fondateur de journaux devait penser aux hommes mariés.

• Inquiet aussi de la fermeture de l'espoir d'élargissement de la place des femmes dans l'église.

• Préoccupé par les propos du cardinal Ratzinger sur la "décadence" de l'Eglise depuis le concile. Toutes ces raisons lui font craindre un repliement frileux sur des positions de "chrétienté". Notre homme, en définitive, demande que le pape et les évêques du synode, non seulement ne stoppent pas, mais au contraire donnent un nouvel élan "à la nécessaire adaptation de l'Eglise aux conditions du monde d'aujourd'hui".
Toutes ces positions et bien d'autres si cela n'aurait pas suffit, se retrouvaient chaque semaine dans les pages de la revue. Sympathie pour les positions allant dans leur sens, réprobation à peine voilées envers celles qui vont à l'encontre.

Avant de poursuivre, on peut se demander quel est exactement le rôle de l'Eglise à travers les siècles. Les successeurs de Pierre ne sont-ils pas là pour continuer de proclamer la "Bonne Nouvelle" telle qu'Elle nous a été transmise par les évangiles ? Si elle "s'adapte" à chaque époque, la religion ne devient-elle pas une "chose" inventée par les hommes au gré de l'évolution des mœurs ? Certes, les rites peuvent (et devraient changer) pour que le langage "colle" avec celui des contemporains. Mais si le fond change ce n'est plus l'enseignement de Jésus-Christ que l'on entend, sinon celui d'hommes et de femmes qui s'en sont approprié.
Prenons comme exemple, celui de l'avortement: Il est admis maintenant –et si vous dites le contraire, vous êtes étiqueté d'extrême droite- que la femme a le droit de disposer de son corps. Les "chrétiens" dits progressistes, -c'est-à-dire ceux qui sont pour l'adaptation (de la religion à notre temps) sont d'accord avec ce principe et leur presse met en avant des cas douloureux certes, mais extrêmes pour mieux étayer leurs arguments. Si l'Église à travers la voix du pape ou des évêques admettait cet "aggiornamento", elle irait complètement à l'encontre des évangiles et du décalogue où il est dit : Tu ne tueras point. En admettant que la femme ait le droit de disposer de son corps comme on le dit et si elle veut se jeter du haut d'une falaise ou se jeter devant un train, après tout libre à elle. (Et encore si vous étiez présent et vous la laissiez faire, vous seriez accusé de non assistance à personne en danger !) Mais le corps qu'elle porte en elle, si petit soit-il, n'est plus le sien, n'est pas le sien. C'est une tierce personne dont on n'a pas le droit de décider de sa vie ou de sa mort.
Les partisans de l'avortement, disent –eh bien, si les chrétiens ne sont pas d'accord, ils n'ont qu'à s'appliquer cette règle à eux-mêmes et nous foutre la paix- Mais comment peut-on assister impassibles à l'assassinat de 220 000 petits êtres par an en France et des millions dans le monde ? N'arrivera-t-il pas un jour, que les mœurs changeront et que les gens de cette époque diront –et les chrétiens ont assisté à ce massacre sans bouger un petit doigt !!

L'Église à travers le pape et les évêques ont donc le devoir impératif de rappeler envers et contre tout, ce que dit leur religion. Si elle disait le contraire, si elle disait que l'avortement n'est pas un crime ce ne serait plus les paroles de l'évangile de Jésus-Christ, mais une religion inventée au 21ème siècle. Où serait Dieu là-dedans ?

En revenant à notre homme et les journaux qu'il a créé et qui étaient tous dans la même ligne. Pendant les années 1977 à 1979 il y aura à sa tête comme directeur général du groupe des publications " un journaliste" qui assurera que Jésus-Christ n'a jamais existé et qu'il avait été probablement été inventé par les osiriens au IIème siècle. Curieusement même s'Il n'a jamais existé, Il avait quand même eu des relations homosexuelles "avec le disciple qu'il aimait". Mais -on en est pas à une contradiction près- Il se serait aussi marié avec Marie Magdeleine. Je ne suis pas sûr que ce soit lui, mais on a aussi dit que ce ne serait pas Jésus-Christ qui serait mort sur la croix, mais son frère jumeau.

Comment un homme comme celui là peut diriger des revues "catholiques", sans que ses idées transparaissent dans les articles, éditoriaux ou reportages des journalistes qu'il dirigeait ? Puis la suite ne sera pas mieux ! En 2003 le groupe de presse sera acheté par "le Monde" qui avait à sa tête deux dirigeants venant de l'extrême gauche. Les dégâts qu'ils auront occasionnés dans les rangs lecteurs sont incalculables. Et alors qu'il est vital que les chrétiens s'unissent pour mieux lutter contre la déchristianisation, ils ont créé une division où leurs adeptes préfèrent les athées et les anticléricaux aux catholiques qui ne suivent pas leur courant de pensées.

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Cher Roberto
Comme je vous l'ai insinué dans mon dernier message, votre cousin faisait partie de la communauté de Cervera et il se trouvait à l'Hôpital d'où il a été amené avec d'autres clarétains, comme on peut le voir dans le récit que je copie, directement au cimetière, où ils ont été fusillés le 18 (août).
Salutations.
FF. Alba, cmf

Voici le texte:
Tous debout! À minuit, entre le 17 et le 18, trois miliciens sont montés à l’étage où dormaient nos Missionnaires. L’un d’eux, nommé Solé a crié : Allez! Tous debout! Levez-vous, parce que nous devons vous conduire à un sanatorium.
On a aidé à s’habiller ceux qui étaient impotents, spécialement le P. Luis Jové, qui a dû être porté dans une civière. Un des Frères les plus âgés demanda, pendant qu’il avançait lentement appuyé sur sa canne : Vers midi, nous serons là, n’est-ce pas? L’assassin Solé lui répondit : Oui, mon vieux, et même avant.
Celui qui répondait avec tant d’affection était en réalité un personnage sinistre. Il était membre du Conseil Révolutionnaire de l’Hôpital et un élément très influent dans le Comité de Cervera. Quand on a offert aux détenus une occasion de sortir de l’Hôpital, c’est Solé qui signa, hypocritement, deux lettres pour les sollicitations; ensuite, il signa de lettres pour les autres. Mais la réponse arriva trop tard. Ils ont préféré, Solé comme les autres, devancer les démarches en fusillant tous les Missionnaires, pour contrecarrer la possibilité d’une réponse affirmative.
Cependant, cette nuit, Solé et Enrique étaient de mauvaise humeur contre les autres membres du Conseil d’Administration, parce qu’on avait passé à tous l’ordre d’être là pour la besogne de sortir les malades et les amener au cimetière, mais, malgré leur engagement, ils ont brillé par leur absence. Solé et Enrique s’en plaignaient : Tous sont très bons pour parler, et, vous voyez, au moment d’agir, ils nous laissent tout seuls.
Enrique était un vrai démon, dont la tâche à Cervera a consisté à aller chercher des gens et les tuer, selon le témoignage de Sœur Nativité dans le procès; et Sœur Concepción Brey ajoute que Solé était un boucher aussi acharné qu’Enrique.
En descendant l’escalier parmi ceux qui allaient au martyre, quelques-uns n’étaient ni vieillards ni malades. Le Frère Francisco Canals avait la charge d’infirmier et, dès le début, il refusa de partir. Ce courageux et dévoué Frère Missionnaire n’a voulu, pour rien au monde, abandonner ses chers frères malades : Je pourrais me sauver, mais je ne veux pas abandonner ces pauvres malades.
Le séminariste Evaristo Buería s’était réfugié à l’Hôpital. Une de ses sœurs est venue le chercher, mais il n’a pas voulu accepter la fuite : Je reste ici, parce que je désire le martyre d’une façon véhémente et extraordinaire. Maintenant, Dieu mettait dans ses mains la palme du martyre. La même chose est arrivée à ses compagnons José Loncán et Manuel Solé. L’autre séminariste, José Ausellé, était en pleine jeunesse bien cloué sur la croix d’une maladie grave et douloureuse.
Les bien-portants aidaient les plus malades à descendre l’escalier : le vétéran missionnaire de la Guinée Équatoriale, Frère José Ros, aveugle depuis vingt ans, et les Frères Buenaventura Reixach et Miguel Rovira, très âgés et impotents.
Le vénérable P. Heraclio Matute prit congé de Sœur Consolación Salla en lui donnant son crucifix de missionnaire et quelques pesetas qu’il gardait pour des dépenses éventuelles.
Le P. José María Serrano adressa à Sœur Concepción Brey un adieu gentil et sympathique : Adieu et bonne journée, ma Sœur! Merci pour tout! Les autres aussi disaient adieu aux Sœurs en les remerciant pour tout ce qu’elles avaient fait pour eux. Les Sœurs contemplaient stupéfaites et en pleurs ce départ, à la fois, triste et glorieux.
Sœur Natividad Ruano nous raconte que le P. Serrano, accablé par le mal de Pott, eut cependant la force et le courage d’adresser quelques mots sur Dieu au milicien José Solé, essayant de remuer les cendres de la foi de son enfance. Mais il lui répondit furieux : Tu penses encore à ces choses-là? Tu crois encore en Dieu?
En route vers le ciel
Le camion les attendait à la porte de l’Hôpital. Ils y montaient avec de grands efforts. Un milicien racontait à Isabel Morera qu’un des malades laissa échapper quelques gémissements de douleur et qu’il lui avait fermé la bouche d’un bon coup de crosse.
Le cimetière n’est pas loin de la ville. On peut le voir très bien depuis l’Hôpital. Le camion s’y est rendu en quelques brèves minutes. Tous descendirent du camion et, une fois entrés au cimetière et placés devant les fusils, ils ont commencé à crier : Vive le Christ-Roi! Vive le Christ-Roi!
Nous n’avons d’autres témoins que les miliciens, qui ont, tout de suite après, commenté l’événement dans toute la ville. Avec cela, ils ont apporté des données très utiles pour le Procès Informatif en vue de la béatification :
- Ils tombaient comme des mouches. Mais tous criaient Vive le Christ-Roi! Et c’étaient les jeunes ceux qui criaient le plus fort.
- Ils sont têtus! Tous meurent en criant la même exclamation. Ils n’ont pas voulu, pas même un seul, dire ce que nous leur demandions de dire.
Les cadavres sont restés là étendus sur le sol. Il manquait encore le dernier acte du drame.
(Du livre Missionnaires Clarétains Martyrs par Pedro Garcia)
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Date

 

 

 

 

 

 


Date de création : 18/03/2017 @ 22:53
Dernière modification : 02/03/2023 @ 09:37
Catégorie : Les reflexions d'un plouc
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