Les catholiques sont appelés à accueillir les migrants. D’abord le pape François, puis les évêques nous interpellent avec les paroles du Christ Lui-même. Il nous faut accueillir l’étranger. N’a-t-Il pas dit : Tout ce que tu feras au plus petit d’entre nous, c’est à Moi que tu le fais !
Certes nous le devons. Nous en avons le devoir, mais.........
Mais le fait d’accueillir l’étranger doit-il nous empêcher d’ouvrir les yeux. Après la plus grande confusion, nos gouvernants eux même commencent -peut-être tardivement- à se poser des questions. Les questions que tout le monde, à part les aveugles et les sourds, se pose.
Michel Sardou, qui est en général un très bon baromètre de la sensibilité des Français, a une réaction intéressante. Si, d'un côté, il se désole du sort des réfugiés, de l'autre, il pointe du doigt ce qu'il appelle «une invasion passive». «C'est calculé, je suis sûr que derrière, ces salauds de l'Etat islamique ont prévu de nous étouffer. S'ils n'avaient pas voulu qu'ils s'en aillent ils les auraient massacrés, mais ce qu'ils veulent c'est bien étouffer l'Europe, la foutre dans la merde.»
Si vous ne faites pas partie des aveugles, regardez cette photo parmi tant d’autres images dont la télévision nous abreuve (et encore les journalistes français ont la caméra sélective). Est-ce que vous voyez des gens malheureux, des gens pauvres, des gens ayant souffert depuis des semaines les pires horreurs de la guerre et les persécutions des fous islamistes. Ce sont des visages jeunes, des visages souriants. Ils sont bien habillés et les valises flambant neuves et d’excellente qualité.
Si vous ne faites pas partie des sourds vous entendrez qu’il y en a qui arrivent de pays où il n’y a pas de guerre. Où ils n’ont subi aucune persécution. Ils sont là pour profiter de la niaiserie et de la couardise des dirigeants européens et du travail des vrais travailleurs !
Certes, nous devons accueillir les migrants, mais nous devons le faire avec toutes les précautions d’usage. Sinon quel pays allons-nous laisser à nos enfants ? Devront-ils (nos enfants) allaient vivre dans les pays que ces migrants ont laissés vides ? Ce serait le comble !